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État des risques et pollutions : l’ERP est-il à jour dans votre DDT de vente ou de location ?
Publié le 23 Juin 2022

État des risques et pollutions : l’ERP est-il à jour dans votre DDT de vente ou de location ?

Avez-vous bien vérifié que l’ERP de votre transaction est à jour dans le dossier de diagnostic technique de votre vente ou de votre location ? En effet, le Code de l’environnement impose de transmettre lors de la vente ou de la location un état des risques et pollutions en bonne et due forme et donc, encore valide, soit de moins de six mois. À défaut, votre transaction peut être annulée ou le prix de vente de votre bien ou le loyer de votre location réduit. Votre diagnostiqueur immobilier de proximité, Activ’Expertise Arve Mont Blanc, revient sur vos obligations concernant l’ERP ainsi que sur celles qui vous seront imposées au plus tard à compter du 1er janvier 2023. L’obligation d’ERP : une mesure inscrite dans l’article L125-5 du Code de l’environnement Les porteurs de projets de vente ou de location de locaux d’habitation ou commerciaux situés dans des zones comportant au moins un risque environnemental doivent transmettre un état des risques et pollutions (ERP) à l’acquéreur ou au locataire lors de la signature de la transaction. L’ERP est un document d’information essentiel qui doit être valide pour être conforme, comme le confirme une affaire récente qui a abouti en appel à la résolution d’un contrat de location pour défaut de validité de l’ERP (il datait de plus de six mois). L’autre sanction qui peut être appliquée est une diminution du montant du loyer de la location (ou du prix de vente du bien). Toutefois, certaines juridictions, en raison de la sévérité de la sanction, rechignent à donner gain de cause aux locataires lorsque ceux-ci n’apportent pas une preuve suffisante pour attester de la gravité du préjudice subi et qu’ils n’avancent finalement que l’absence de fourniture de l’ERP ou sa non-validité. Dans le cas précis, le bail datait du 9 mai 2012 et l’ERP du 2 octobre 2009… Il semble évident que la situation du bien au regard des risques encourus ne pouvait plus être la même. Dès 2023 au plus tard, un état des risques et pollutions omniprésent lors d’une transaction ? L’état des risques et pollutions monte en grade à compter du 1er janvier 2023 au plus tard. En effet, l’ERP s’invite dans les annonces immobilières de vente et de location ainsi que dans les visites de bien. Dans les annonces immobilières, il figurera sous la forme d’une mention afin d’informer les acheteurs ou locataires potentiels sur la façon d’accéder aux données qu’il contient. Lors de la visite des biens, l’ERP sera fourni aux visiteurs pour qu’ils soient au courant des risques encourus au plus tôt dans leur projet d’achat ou de location.

Diagnostics immobiliers, location, rénovation : quelles évolutions depuis le 1er juillet 2022 ?
Publié le 19 Juillet 2022

Diagnostics immobiliers, location, rénovation : quelles évolutions depuis le 1er juillet 2022 ?

Au 1er juillet 2022, comme à chaque nouveau semestre, de nouvelles réglementations entrent en vigueur, d’où la nécessité de rester en veille dans de nombreux secteurs comme celui de l’immobilier, qu’il s’agisse de vente, de location, de construction, de rénovation ou même d’entretien de la végétation dans les zones résidentielles. Récapitulatif donc des mesures qui impactent désormais l’ immobilier résidentiel du secteur Chamonix-Mont-Blanc, zone d’intervention de votre diagnostiqueur Activ’Expertise, ainsi que de l’ensemble du territoire national. Norme du diagnostic gaz en juillet 2022 : parution d’une actualisation de son contenu Depuis le début de ce mois de juillet, le diagnostic gaz ou état de l’installation intérieure de gaz s’est doté d’une nouvelle version concernant sa norme NF P45-500. Ainsi, un nouveau contenu permet d’intégrer des dispositions réglementaires entrées en vigueur après la parution de la version précédente il y a plus de neuf ans (janvier 2013). Il était question aussi d’inclure les retours d’expérience des professionnels se référant à cette norme tels que les diagnostiqueurs immobiliers certifiés dans le domaine du gaz, comme c’est le cas de nos opérateurs. Annonce immobilière de location : de nouvelles obligations pour les bailleurs particuliers Les bailleurs particuliers qui souhaitent mettre en location leur bien à titre de résidence principale doivent rédiger dorénavant des annonces conformes à l’arrêté publié le 22 avril 2022 au Journal Officiel. Les informations à transmettre quel que soit le support de l’annonce sont très précises et incluent toutes celles relatives à l’encadrement des loyers, une mesure en vigueur par exemple à Annemasse (commune située en « zone tendue »). Il s’agit alors de mentionner « zone soumise à encadrement des loyers » ainsi que « loyer de référence majoré (loyer de base à ne pas dépasser) », « loyer de base » et le cas échéant « complément de loyer », toutes ces indications devant être suivies de leur montant. Des interdictions et, en rénovation énergétique, des aides cumulées depuis juillet 2022 Le 1er juillet 2022 marque aussi l’entrée en vigueur du décret du 5 janvier 2022 relatif aux chaudières alimentées au fioul ou au charbon. Il est donc désormais interdit d’installer un appareil de ce type et toute commercialisation de ces équipements est devenue impossible. Toutefois, les appareils existants déjà en place ainsi que leur utilisation, leur entretien et leur réparation restent d’actualité. Sous conditions, une dérogation est même possible. Autre interdiction majeure qui impacte l’environnement de l’immobilier résidentiel : en vertu de la loi Labbé, les produits phytosanitaires pour l’entretien des espaces verts sont bannis, y compris dans les propriétés privées à usage d’habitation. Concernant la rénovation énergétique, le 1er juillet 2022 ouvre la voie à deux dispositifs d’aides cumulées : MaPrimeRénov’ et l’éco-PTZ ainsi que MaPrimeRénov’ Sérénité et le « coup de pouce » CEE. Pour rappel, un an auparavant, les opérations à un euro pour les combles et les planchers avait été stoppées par arrêté ministériel à la suite de nombreux actes malveillants d’entreprises peu scrupuleuses.

Passoires thermiques : l’interdiction de hausse du loyer toujours prévue pour le 24 août 2022
Publié le 31 Août 2022

Passoires thermiques : l’interdiction de hausse du loyer toujours prévue pour le 24 août 2022

Pour les propriétaires souhaitant vendre leurs maisons ou leurs immeubles classés F ou G au DPE , la rentrée s’annonce plutôt bien puisqu’ils ne devront plus faire réaliser un audit énergétique avant la vente de leur bien si celle-ci à lieu à compter du 1er septembre 2022. En effet, l’obligation d’audit énergétique réglementaire a été reportée au 1er avril 2023. Par contre, pour les bailleurs de passoires énergétiques, en ce qui concerne l’interdiction d’augmenter le loyer en cas de renouvellement de bail, de reconduction tacite de bail ou de nouvelle location à compter du 24 août 2022, rien n’a changé et un décret paru au Journal Officiel en juillet a confirmé l’entrée en vigueur de cette obligation. Pas de report pour l’interdiction de hausse du loyer d’une passoire thermique en août 2022 Les bailleurs de logements classés F ou G au DPE sont bien moins lotis que les vendeurs en ce mois d’août 2022. En effet, contrairement à ces derniers qui ont bénéficié d’un report de sept mois de l’obligation d’audit énergétique réglementaire, le gel des loyers des passoires thermiques, disposition issue de l’article 159 de la loi Climat et Résilience, entrera bien en vigueur à compter du 24 août 2022. Un décret en date du 29 juillet 2022 publié au JORF le 30 juillet 2022 l’a d’ailleurs confirmé. Ce décret inclut aussi la reconduction jusqu’à fin juillet 2023 du dispositif d’encadrement des loyers applicable dans les zones tendues. Pour rappel, l’interdiction de hausse du loyer des locations classées F ou G au DPE s’appliquera aux nouveaux baux ainsi qu’à ceux renouvelés ou reconduits tacitement en France métropolitaine. Quelle autre mesure à l’encontre des bailleurs de passoires énergétiques dès 2023 ? L’interdiction de hausse des loyers des locations de logements affichant F ou G comme performance énergétique sera suivie dès le 1er janvier 2023 par l’interdiction de louer les logements les plus énergivores de la classe G du DPE et plus exactement ceux dont les consommations d’énergie annuelles dépassent le seuil de décence énergétique (plus de 450 kWh/m2.an d’énergie finale). En 2025, toutes les locations de logements classés G seront interdites. En 2028, les logements classés F seront interdits à la location et en 2034, ceux classés E. À Chamonix-Mont-Blanc et sa région, Activ’Expertise réalise tous vos diagnostics immobiliers de vente et de location ainsi que les états des lieux d’entrée et de sortie de vos contrats de bail.

Passoires thermiques : l’interdiction de hausse du loyer toujours prévue pour le 24 août 2022
1 septembre 2022

Passoires thermiques : l’interdiction de hausse du loyer toujours prévue pour le 24 août 2022

Pour les propriétaires souhaitant vendre leurs maisons ou leurs immeubles classés F ou G au DPE , la rentrée s’annonce plutôt bien puisqu’ils ne devront plus faire réaliser un audit énergétique avant la vente de leur bien si celle-ci a lieu à compter du 1er septembre 2022. En effet, l’obligation d’audit énergétique réglementaire a été reportée au 1er avril 2023. Par contre, pour les bailleurs de passoires énergétiques, en ce qui concerne l’interdiction d’augmenter le loyer en cas de renouvellement de bail, de reconduction tacite de bail ou de nouvelle location à compter du 24 août 2022, rien n’a changé et un décret paru au Journal Officiel en juillet a confirmé l’entrée en vigueur de cette obligation. Pas de report pour l’interdiction de hausse du loyer d’une passoire thermique en août 2022 Les bailleurs de logements classés F ou G au DPE sont bien moins lotis que les vendeurs en ce mois d’août 2022. En effet, contrairement à ces derniers qui ont bénéficié d’un report de sept mois de l’obligation d’audit énergétique réglementaire, le gel des loyers des passoires thermiques, disposition issue de l’article 159 de la loi Climat et Résilience, entrera bien en vigueur à compter du 24 août 2022. Un décret en date du 29 juillet 2022 publié au JORF le 30 juillet 2022 l’a d’ailleurs confirmé. Ce décret inclut aussi la reconduction jusqu’à fin juillet 2023 du dispositif d’encadrement des loyers applicable dans les zones tendues. Pour rappel, l’interdiction de hausse du loyer des locations classées F ou G au DPE s’appliquera aux nouveaux baux ainsi qu’à ceux renouvelés ou reconduits tacitement en France métropolitaine. Quelle autre mesure à l’encontre des bailleurs de passoires énergétiques dès 2023 ? L’interdiction de hausse des loyers des locations de logements affichant F ou G comme performance énergétique sera suivie dès le 1er janvier 2023 par l’interdiction de louer les logements les plus énergivores de la classe G du DPE et plus exactement ceux dont les consommations d’énergie annuelles dépassent le seuil de décence énergétique (plus de 450 kWh/m2.an d’énergie finale). En 2025, toutes les locations de logements classés G seront interdites. En 2028, les logements classés F seront interdits à la location et en 2034, ceux classés E. À Chamonix-Mont-Blanc et sa région, Activ’Expertise réalise tous vos diagnostics immobiliers de vente et de location ainsi que les états des lieux d’entrée et de sortie de vos contrats de bail.

Bailleurs, et si des panneaux photovoltaïques vous préservaient de l’interdiction de louer ?
16 septembre 2022

Bailleurs, et si des panneaux photovoltaïques vous préservaient de l’interdiction de louer ?

Si vous faites partie des bailleurs qui appréhendent l’obligation de décence énergétique conditionnée par le respect du non-dépassement d’un seuil annuel précis de consommation d’énergie, la proposition récente d’une sénatrice pourrait vous redonner un peu d’espoir. En effet, celle-ci préconise le report au 1er janvier 2028 de l’ interdiction de louer prévue en 2025 pour les logements classés G, soit en même temps que celle prévue pour les logements classés F, si les bailleurs concernés acceptent de procéder à l’installation de panneaux photovoltaïques , et ce, d’ici 2025. Pose de panneaux photovoltaïques : une démarche qui profiterait au bailleur et au locataire Si vous louez actuellement un logement classé G au DPE, vous risquez de ne plus pouvoir le faire d’ici le 1er janvier 2023 et vous ne pourrez plus le faire dans tous les cas d’ici le 1er janvier 2025, si vous n’agissez pas pour éradiquer le caractère énergivore de votre logement, une situation très préjudiciable au regard de la réglementation en vigueur. Imaginez maintenant que par la pose de panneaux photovoltaïques d’ici 2025, vous pourriez non seulement continuer de louer mais en plus vous auriez trois années supplémentaires, soit jusqu’au 1er janvier 2028 pour rendre votre patrimoine locatif performant énergétiquement. Trois années de plus, c’est quand même quelque chose, si l’on tient compte du coût et des contraintes techniques d’une rénovation énergétique ainsi que de la tension qui sévit actuellement sur le secteur de la construction. Voilà donc ce qu’une sénatrice a proposé dans le texte d’une question écrite parlementaire datée du 28 juillet 2022, une proposition qui serait un plus non seulement pour le bailleur mais aussi pour le locataire . En effet, ce dernier réduirait ses factures d’énergie et en plus, profiterait de la revente du surplus d’énergie renouvelable produite. Et sans les panneaux photovoltaïques, comment éviter l’interdiction de louer en 2025 ? Si la proposition énoncée par cette sénatrice désireuse d’aider les bailleurs de passoires énergétiques ne suscite aucun intérêt auprès du gouvernement, l’ interdiction de louer votre logement classé G à compter du 1er janvier 2025 ne pourra être évitée que par la mise en œuvre d’une rénovation énergétique qui permettrait à votre logement de sortir de son statut de logement excessivement énergivore. Pour un tel projet, un audit énergétique est une prestation pertinente que vous pouvez solliciter à tout moment auprès de votre diagnostiqueur immobilier Activ’Expertise disponible sur le secteur géographique de Chamonix-Mont-Blanc.

Audit énergétique par un opérateur de diagnostic certifié DPE, où en est-on en octobre 2022 ?
19 octobre 2022

Audit énergétique par un opérateur de diagnostic certifié DPE, où en est-on en octobre 2022 ?

L’audit énergétique réglementaire sera obligatoire pour vendre, à compter du 1 er avril 2023 , une passoire énergétique (logement de classe F ou G au DPE) en monopropriété . En ce mois d’octobre 2022, le ministère de la Transition écologique apporte davantage de précisions sur son site RT-RE Bâtiment à propos des attestations qui devront accompagner l’audit énergétique réglementaire lorsqu’il sera réalisé par un diagnostiqueur immobilier certifié DPE. Un lien comportant trente questions-réponses sur l’audit énergétique réglementaire vient aussi compléter cette information, en citant notamment la manière de trouver un auditeur. Votre diagnostiqueur immobilier opérant sur le secteur Chamonix-Mont-Blanc vous éclaire. Audit énergétique réglementaire : quel type d’attestation devra détenir votre diagnostiqueur ? Pour rappel, un diagnostiqueur immobilier certifié DPE peut réaliser un audit énergétique réglementaire au sein des bâtiments comprenant un seul logement, soit dans des maisons individuelles. Toutefois, pour ce faire, il doit justifier des compétences nécessaires et qui se traduisent par au moins une attestation délivrée par un organisme de certification (OC) parmi trois modèles révélés en ce mois d’octobre 2022 sur le site RT-RE Bâtiment. La première, modèle d’attestation désigné par A , peut être obtenue après une formation à l’audit énergétique datant de moins de six mois au moment de la demande du diagnostiqueur. La deuxième attestation, modèle B , est délivrée à la suite d’une évaluation favorable de l’OC sur au moins trois audits énergétiques requis dans le cadre d’aides à la rénovation énergétique et accomplis dans les deux ans qui précèdent la demande de l’opérateur. Enfin, le troisième document qu’il est possible d’annexer à l’audit énergétique est une prorogation de la durée de validité de l’une ou l’autre des deux attestations précitées, après une évaluation favorable à propos d’au moins deux audits énergétiques réglementaires réalisés au cours de la durée de validité de l’attestation initiale. Diagnostiqueurs-auditeurs : jusqu’à quand habilités à réaliser l’audit et comment les trouver ? Les attestations A et B que les diagnostiqueurs immobiliers peuvent annexer à l’audit énergétique pour justifier de leurs compétences à le réaliser sont délivrées pour une période maximale de 9 mois et, y compris la prorogation, cesseront d’être valides à compter du 31 décembre 2023 . Quant à la manière de trouver un diagnostiqueur immobilier-auditeur, elle s’apparente à celle de trouver un diagnostiqueur certifié, soit se rendre sur le site de l’annuaire officiel des diagnostiqueurs immobiliers certifiés , comme le précise le Questions-réponses du site RT-RE Bâtiment. Toutefois, il existe encore un moyen beaucoup plus rapide : nous contacter au 06 26 36 48 59. En effet, nous sommes compétents pour réaliser l’audit énergétique réglementaire.

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